Le triomphe de la philosophie Nietzschéenne

Pourquoi ce titre? Pourquoi cet image? Et pourquoi triomphe? Je ne m'attarderai pas sur la vie de Nietzsche, ni sur toutes ses œuvres mais je rappellerai juste les points clés.

Nous avons tout d'abord une opposition Soleil-Pluton sur l'épi de la vierge, parfaitement en accord avec la pensée du philosophe qui analyse le sens des structures humaines et procède à leur déconstruction.

C'est en 1889 lors du transit d'Uranus sur cet opposition qu'interviendra l'épisode du cheval battue qui précipita Nietzsche dans la démence. Il termina les dernières années de sa vie dans un état végétatif et soigné par sa mère et sa sœur.

Nous avons Saturne en capricorne en trigone à Mercure-Mars aidant à la structuration de ses écrits.

Lune-Nœud Nord sur Antarès caractérise certes la noirceur de sa pensée ( Lune) mais aussi sa salubrité publique ( Noeud Nord) en temps que compréhension des tragédies humaines

Mais c'est surtout la conjonction Mercure-Mars sur secteur de l'intellect et de la raison en opposition à la conjonction Jupiter-Uranus sur secteur de la foi religieuse qui attire ici l'attention.

Il faut noter que Nietzsche perda très tôt ses liens masculins à 5-6 ans lors des décès simultanés de son père et son frère lors de La première opposition jupitérienne. Puis il perda une partie de ses liens féminins de substitution à 11-12 ans lors des décès de sa tante et de sa grand-mère lors du premier retour jupitérien.

Ses décès prématurés pendant l'enfance sur des transits clés a du énormément influé sur la destiné du personnage qui se retrouva seul face à sa mère très pieuse et croyante.

C'est à l'age de l'adolescence, âge de rébellion et de détachement de l'autorité parentale qu'il se tourna astrologiquement vers l'antagoniste philosophique.

Mercure-Mars caractéristique de l'homme-robot complémenté au révolutionnaire Jupiter-Uranus amine "la quête du surhomme" et "la volonté de puissance" comme source d'inspiration de ses œuvres. C'est lors de l'opposition jupitano-uranienne de 1886 qu'il entreprit de rédiger la série de ses œuvres les plus retentissantes. PAR DELÀ BIEN ET MAL ( 1886 ), GENEALOGIE DE LA MORALE (1887), CREPUSCULE DES IDOLES ( 1888 ), L'ANTECHRIST ( 1888 )

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Mais revenons plus proche du présent...la configuration planétaire de l'été 2010 semble épouser celle du philosophe dans l'axe Poissons-Vierge. Que s'est t-il passé à partir de cet période, à priori rien...et pourtant

La triple conjonction Jupiter-Uranus-Pluton de 1968-1969 a eu lieu au début du signe de la vierge et a vu le triomphe de la société de consommation, pourtant contesté par les rassemblements et les slogans de la jeunesse de l'époque. Il y a là dans cet configuration un début de vague de schizophrénie avec Pluton et frappant l’ensemble de la génération des trente glorieuses dont vous pouvez constater les effets grâce à l'explosion des postes de télévision dans les foyers à partir de ce moment-là, véritable machine à brouiller le raisonnement

Voici le lien de cet vidéo: https://www.youtube.com/watch?v=NvMNf0Po1wY

42 ans après, une autre conjonction Jupiter-Uranus a lieu mais cet fois en Poissons et opposé à Saturne, tout un symbole.

Saturne en transit sur le lieu de la conjonction plutonienne de 1968 indique un mûrissement ou un aboutissement de cet nouvelle société dont ses principes propres se retrouvent désormais érigé en dogme.

La crise de 2008 a créer une véritable rupture au sein de la génération égocentrique des années 60, Saturne-Uranus sur l'axe Lion-Verseau de 1965-1966 se trouve transité par la même opposition dans les signes inverses. Le dernier mythe encore debout de la société libérale, à savoir l'enrichissement personnelle a volé en éclat. Les esprits tourmentés se sont alors tourné vers le virtuel et ses merveilles technologiques. Les courbes entre 2008 et 2010 parlent d'eux-mémes.

Pour conclure, je finirai par cet citation de Edvard Munch « Je me promenais sur un sentier avec deux amis — le soleil se couchait — tout d'un coup le ciel devint rouge sang. Je m'arrêtai, fatigué, et m'appuyai sur une clôture — il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir de la ville — mes amis continuèrent, et j'y restai, tremblant d'anxiété — je sentais un cri infini qui passait à travers l'univers et qui déchirait la nature . »

LE CRI